Je suis allé chercher ces images argentiques à quelques pas de chez moi. Ce sont les premières photos avec le Canon EOS 33 de JP et la Kodak TMX P3200. La sensibilité calée sur 1600 ISO, j’ai dû travailler avec une ouverture à F4 et une vitesse au 1/15 il me semble. On ne voyait pas grand chose, exactement ce que je voulais. Photographier en lumière basse, dans la rue ou en intérieur, est devenu un hobby. Les jours sont définitivement trop tristes en ce moment. La nuit est plus mystérieuse, plus graphique et plus intéressante en noir et blanc. Il y en aura d’autres.
Histoires de photos 
Là, je suis bien étonné par la qualité des images et j’ai l’impression de retrouver les mêmes sensations que lorsque j’utilise l’Eos numérique à ces valeurs (3200 Iso). Le rendu est splendide, surtout la dernière photo. Comme quoi il y a vraiment moyen de se faire plaisir avec l’argentique à coût raisonnable (au prix où sont certains boitiers anciens, on peut charger un camion de pellicule avant d’arriver au prix des nouveaux reflex !). Merci de nous donner envie de sortir nos vieilles machines.
très honnêtement, les photos auraient pu être mieux. Le grain est trop présent. Ce n’est pas grave. Je préfère de loin la Delta 3200 de chez ILFORD. Les TMAX restent quand même assez chères pour celles et ceux qui ont un petit porte-monnaie. Mais c’est vrai, c’est un plaisir de travailler en argentique dans ces conditions difficiles. Certains préfèreront la Tri-X poussée. La TMAX se défend bien quand même.
Tu as raison Fred, la nuit reste la même, elle et pour les noirs. rien de mieux !
Pourquoi l’exposes-tu à 1600 et pas à la valeur nominale ?
Amuse-toi encore.
Merci Patrice. La TMAX 3200 est un film que l’on expose entre 400 et 6400 ISO habituellement. Kodak annonce même 25 000 ISO. Les 1600 étaient suffisants pour mon usage.