
Voilà une image que je ne suis pas prêt de refaire, en tout cas pas avant l’année prochaine. Les réceptions de mariages sont à nouveau interdites dans la plupart des grandes métropoles. Beaucoup de mariages sont donc reportés ou annulés. Certains couples s’organisent comme ils peuvent, les photographes s’adaptent. Je reçois des demandes de dernière minute pour une cérémonie civile suivie d’un dîner au restaurant. Les soirées dansantes, il faut oublier. Les reportages photos s’arrêtent à 19H00.
Les photographes comme les traiteurs et autres professions festives doivent être mis sous perfusion financière de l’Etat ! ça fait partie des risques d’une République.
Je n’ai pas à me plaindre Patrice. Faisant parti du secteur événementiel, je suis soutenu par l’état. La situation est bien plus délicate et parfois dramatique pour les établissements recevant du public. Ce qui m’ennuie, c’est la baisse des commandes pour 2021.
Bon courage Fred.
Merci Olivier ! Bonne soirée.
Sale temps de grisaille pour tous en France Nord et sud… sale période pour les faiseurs d’images et bien d’autres.. Les projets artistiques sont à l’avenant..Mon asso artistique projette une expo pour novembre prochain, le théme: isolement..!! Je me suis inscrit mais je ne suis pas inspiré..Ici c’est la campagne de bord de mer, les 3 provinces maritimes sont dans une bulle, isolées du reste du monde depuis mars..protégées certes mais renfermées sur elles mêmes..
Au fond de notre « bocale » nous regardons le reste du monde avec cette cette petite angoisse cachée: pourrons nous un jour retrouver la vie de tes images Fred..?? Alphilge Nova Scotia
Cette mise en quarantaine de notre vie d’avant va être longue Alain. Merci de nous soutenir. Hier, j’ai photographié un couple de jeunes mariés en catimini. Ce n’est pas drôle. Heureusement, le couple était mignon et sympa. Il y a des chances que les prochaines photos publiées sur le blog Histoires de photos ne comportent pas d’humain ou très peu. Amitiés aux gens de la Nouvelle-Ecosse.
Confinement, couvre feu, etc. des choses qui ne prédisposent pas à la création et au plaisir. En ville les rues sont grises et les façades vides ou éteintes. La vie fuit la ville. Les gens sont « standardisés » et fuyants, ne s’attardent pas. L’inquiétude est là.