
Finalement, j’aime assez les photos prises à la volée. J’ai photographié sans viser dans les rues de Lille à plusieurs reprises et j’ai trouvé ça plutôt amusant. Moi, j’appelle ce genre d’exercice du snapshot de rue. On récolte pas mal de déchets mais quand ça fonctionne on a parfois de bonnes surprises. Dans cette photo, je partage le cadre avec ce monsieur.
Bonjour Fred,
C’est vrai qu’il y a des images perdues mais souvent cette méthode sauve une photo impossible, où l’on voit au dernier moment l’action à capter, ou parce qu’on est mal mis dans la foule, ou parce que l’on sent que l’on ne peut pas viser, ou … il y a mille raisons, mais c’est un exercice jubilatoire.
Si vous avez la curiosité d’aller sur mon site, dans « dissertation urbaine » il y a quelques captures savoureuses que je n’aurais pu sauver sans les prendre « à la volée ».
Merci en tout cas de partager avec nous vos impressions.
Belle journée.
Merci Jean-Pascal pour ce témoignage. Photographier de cette manière reste pour moi anecdotique. Le plaisir en photographie est justement de pouvoir choisir son cadre ( en plus de l’instant ). Je n’imagine pas la photo sans porter l’œil au viseur même en numérique ou sinon dans un esprit chaotique et à l’arrache, cela peut constituer un style à la Moriyama. Je vais de ce pas jeter un œil à vos photographies.
Un exemple à suivre…
Ou pas … Merci Pascal.