Ce n’est pas évident de se débarrasser de ses habitudes quand on a aimé et pratiqué la photographie de rue pendant longtemps. Le reflex de cadrer et de déclencher instinctivement lorsqu’une situation nous interpelle est plus forte que la raison. Je suis comme un gamin qu’il faudrait frapper sur la main pour l’empêcher de sombrer à nouveau dans les affres de la photo de rue.

Photographies argentiques dans le Nord de la France. Scan de pellicules noir et blanc. Numérisation haute définition et scans pour le web.
Et qu’est-ce que cela serait si on pratiquerait tous les jours…Il faudrait nous couper les mains!
C’est bien le problème justement. Je photographie pratiquement tous les jours de la semaine et la tentation de retourner à la photo de rue revient régulièrement.