Clic-clac, c’est dans la boîte. Mais pourquoi avoir pris cette photo ? Je ne sais pas. Sur le moment, j’ai certainement pensé à un instant Kodak. Par la suite, j’en étais moins sûr. Encore de la pellicule brûlée pour rien ou pas grand chose. Il n’y a rien de rationnel dans ces prises de vues. Il faut que je fasse gaffe avec l’argentique. Je fonctionne encore trop souvent à l’instinct et les temps morts se multiplient, les images orphelines aussi.

Bonjour,
J’adore l’avant dernière, un petit air de la guerre des mondes.
Une série très inspirante je trouve.
Bonne continuation !
Bonjour.
Merci d’avoir pris la peine d’écrire ce commentaire.
A bientôt.
J’aime bien ces moments simples. Pourquoi ne pas les prendre après tout? Mais c’est vrai que même en numérique plus on avance dans la photographie moins on prends de clichés.
Bonjour Brice.
C’est surtout vrai en numérique. On multiplie les essais à l’infini, puis lorsqu’on a bien cerné les capacités de son outil à photographier on se calme pour se concentrer sur les instants forts. Cela dit, même avec des années d’expérience, les moments faibles seront toujours présents dans une série. Toutes les photos ne peuvent pas être intenses et sur le même niveau d’émotion. Cela fait partie du jeu. Malheureusement, seules, elles n’ont que peu de valeur. En argentique, je prends bien plus de photos qu’il y a 25 ans mais pour d’autres raisons.
La deuxième est magnifique! Un coup de coeur en ce qui me concerne.