J’ai encore tellement de pellicules couleur à scanner, je me demande si je vais en voir la fin un jour.
En ce moment et vous l’aurez compris, c’est ma période Ecosse qui ressurgit. J’ai ressorti la dernière boîte à chaussure compostant les négatifs couleur d’Ecosse. Tout est mélangé. Les photos de paysages, les randonnées entre amis, les petits déjeuners dans les bed and breakfast, les barbecues sur les plages des Lochs, les rues de Glasgow avec ses façades typiques, les collègues du bureau, les pubs etc… Un vrai foutoir.
Pour numériser, en général, je procède par petites touches. Scanner pendant des heures, ça fatigue les yeux. Depuis plusieurs jours, mon mal de dos m’empêche de partir dans les rues photographier les scènes de vie, alors je scanne plus longtemps que d’habitude. Certaines images ont perdu un peu de vivacité dans les couleurs. Ce n’est pas bien grave, Photoshop CS5 va me donner un petit coup de pouce pour rattraper les vues en manque de vitamines.
J’avais pris ces photos entre 2000 et 2002. C’est à cette époque que j’ai remplacé le petit EOS 300 par un reflex un peu plus performant, le Canon EOS 30. De la gamme débutant averti, je suis ainsi passé à la gamme expert. Je ne faisais pas de meilleures photos mais j’en prenais plus. Le boîtier me semblait très efficace dans toutes les situations. Je l’emmenais partout et pour tout type de photos. J’ai beaucoup travaillé avec ce reflex et il m’accompagne encore aujourd’hui même si je lui préfère l’EOS 3.
J’ai cumulé pas mal de négatifs et de diapositives au cours de ces vingt années. Beaucoup de négatifs couleur comportant des photos sans importance n’ont pas encore été scannés. Mais ce sont tout de même des souvenirs. Et avec le recul, ces images banales ont un goût de nostalgie, forcément. J’ai donc encore du travail sur la planche. C’est tant mieux car il me reste encore beaucoup d’histoires à raconter.
j’ai hâte de voir de nouvelles photos surtout en superia 200 😉
Mm superia 200, j’adore. Tout comme votre style d’écriture, c’est plaisant à lire! Ça coule sous les yeux (c’est comme ça que ça me fait)